18 décembre 2013 — Isabelle Ciaravola — Karl Paquette
Ce ballet signé Preljocaj, sous son apparence classique, dévoile une chorégraphie des plus moderne. Un langage s’installe par les gestes des danseurs et les pas de deux se font attendre avec impatience. “L’abandon”, dernier acte du ballet, devient une libération de la tension des corps, et laisse place à la sensualité et au jeu amoureux. La musique de Mozart accompagne très justement l’ensemble.